L’entrée de la FN, qui est située dans la rue Voie de Liège et qui permet aux chauffeurs de camion de livrer de la marchandise à la Fabrique Nationale, est placée dans une rue assez étroite et difficilement accessible aux camions. Malgré l’interdiction de stationner qui est visible sur la signalisation routière, beaucoup trop automobilistes n’hésitent pas à stationner leur véhicule en face de la barrière de l’entrée de l’entreprise. Le résultat ? Plusieurs dizaines de minutes perdues pour des gens qui ne respectent visiblement pas le Code de la Route.
Le SECOP-ITSRE asbl a demandé à l’Échevin des Travaux de la Ville de Herstal, Monsieur Christian LAVERDEUR pour qu’un striage soit placé au sol en face de cette barrière mais visiblement, l’échevin est trop occupé que pour répondre au mail de notre organisation syndicale.
Voici plusieurs années que les syndicats historiques ainsi que les fédérations patronales planchent sur cette nouvelle classification de fonction dans le secteur du transport routier de marchandises. C’est finalement ce jeudi 17 novembre 2022 que les représentants des travailleurs et ceux des employeurs se sont mis d’accord sur cette nouvelle classification de fonctions.
Toutes les entreprises de transport doivent, avant le 1er janvier 2023, attribuer à l’ensemble de son personnel ouvrier l’une des quatre classes définies dans ces accords. La classe attribuée aux travailleurs déterminera le salaire horaire de base.
Avis à nos adhérents. Ce jeudi 17 novembre 2022, l’un de nos membres s’est fait arrêter par la police fédérale à Gand. Alors que celui-ci était en train de consulter son GSM qu’il utilisait pour sa fonction GPS, un policier l’a contrôlé et lui a infligé une lourde peine, bien plus lourde que les 174 € habituel d’un PV pour l’utilisation d’un GSM en conduisant.
Le policier a pris contact avec le Procureur du Roi qui lui a donc signifié un retrait de son permis de conduire pour une durée de huit jours. Ceci représente approximativement un montant de 750 € net pour ce chauffeur.
Qu’en pense le SECOP-ITSRE ?
44 tonnes sur l’équivalent en surface de 12 feuilles A4, ça donne à réfléchir et pourtant, certains chauffeurs n’y font pas forcément attention !
Avec le refroidissement du temps en période hivernale, l’adhérence d’un pneumatique est moindre qu’en été. Quand il pleut, le taux d’adhérence n’est plus qu’à 0.6 ou 0.7 contre 0.8 en temps normal. Lorsqu’il neige, ce taux diminue encore pour arriver à 0.2 ou 0.1 d’adhérence mais quand la route est verglacée, ce taux diminue encore un peu plus pour arriver à 0.01 ou 0.02
L’adhérence des pneus d’une voiture ou d’un camion par exemple va varier suivant différents éléments :
Une autoroute particulièrement dangereuse par temps de pluie, c’est la E42. On se demande pour quelle bonne raison, l’eau ne s’évacue pas sur le bas-côté de l’autoroute. Pour quelle bonne raison l’eau reste stagnante sur la chaussée ? Tout ceci favorise le phénomène d’hydroplanage et d’aquaplanage. Comme nous le savons, ces phénomènes provoquent des accidents de la circulation. Outre les accidents et ne nombre de blessés et de morts, il y a aussi les milliers d’heures de travail perdues par les sociétés. En première ligne, les sociétés de transport.
C’est pourquoi, le SECOP-ITSRE asbl demande aux autorités d’analyser cette problématique et de résorber le risque d’accidents.
En descendant vers le viaduc de Cheratte sur la E40, des ornières se creusent sur la première bande de circulation et ceci à hauteur de la sortie de Herstal Haut-Sart.
Lorsqu’il pleut, l’adhérence des camions est remise en cause et les ornières rendent la tenue de route difficile. Il y a donc un réel risque d’accident à cet endroit. De plus, les automobilistes qui dépassent les camions jusqu’au dernier moment avant de se glisser sur la bande de décélération est également un autre facteur de risque à cet endroit. Le chauffeur d’un véhicule lourd doit piller sur ses freins, nous le constatons chaque jour.