Notre organisation, qui milite en faveur du transport et de la sécurité routière, ne veut pas du permis à points ! Et pour causes…

Notre organisation rejoint l’avis de la Fédération patronale de l’UPTR sur ce sujet. Mettre des chauffeurs professionnels sur le même pied d’égalité qu’une personne qui utilise son véhicule occasionnellement n’est pas acceptable pour nous non plus.

Nos responsables politiques n’écoutent pas les revendications issues des organisations telle que la nôtre et visiblement, leurs « bonnes » idées sont des idées de personnes qui pensent savoir ce qu’il faut faire pour régler les problèmes d’insécurité routière alors que ces mêmes personnes n’ont jamais pris des décisions qui permettraient de régler une bonne partie des problèmes que nous connaissons sur nos routes…

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4.850 € c'est le prix d'un kilogramme de LNG ! Un véritable scandale écologique...

Il y a encore quelques mois, les constructeurs poussaient les transporteurs à acheter des camions plus propres pour l’environnement. Les constructeurs mais également les clients qui voulaient se donner une image plus « propre » pour le transport de leurs marchandises.

Le LNG, c’est ce gaz qui est utilisé par une bonne partie des camions de nouvelle génération dont le moteur fonctionne uniquement avec ce gaz. Plusieurs transporteurs laissent ce type de camion sur leur parking et pour cause !

Si le diesel se compte en litre, le LNG lui se compte en kilogramme. On considère qu’un kilo de LNG serait l’égal à un litre de diesel. Mais le calcul est vite fait pour celui qui doit payer la facture énergétique pour ce type de camion.

Un camion qui roule avec ce carburant consomme approximativement vingt-trois kilogrammes pour faire cent kilomètres contre une trentaine pour un moteur diesel.

L’augmentation du prix du LNG est tellement considérable que la majorité des transporteurs privilégient de laisser ce type de camion sur… leur parking, ressortant leurs bons vieux diesels bien plus polluants.

Les premiers mois de l’année 2022 ont été particulièrement meurtriers sur les routes wallonnes et l’alcool au volant a largement contribué à ce triste bilan. Par rapport à la même période en 2021, le pourcentage de conducteurs sous l’influence d’alcool impliqués dans des accidents est passé de 9 à 13%.Pour sensibiliser les conducteurs wallons aux risques de l’alcool au volant, la Ministre wallonne de la Sécurité routière, Valérie De Bue, et l’AWSR proposent une solution concrète : des bornes éthylotests interactives dans les lieux de fête.

En descendant vers le viaduc de Cheratte sur la E40, des ornières se creusent sur la première bande de circulation et ceci à hauteur de la sortie de Herstal Haut-Sart.

Lorsqu’il pleut, l’adhérence des camions est remise en cause et les ornières rendent la tenue de route difficile. Il y a donc un réel risque d’accident à cet endroit. De plus, les automobilistes qui dépassent les camions jusqu’au dernier moment avant de se glisser sur la bande de décélération est également un autre facteur de risque à cet endroit. Le chauffeur d’un véhicule lourd doit piller sur ses freins, nous le constatons chaque jour.

L’Europe se trompe en matière de transport et de sécurité routière !

Un chauffeur travaillant pour une société belge a été verbalisé pour une fois 4 minutes de dépassement et un autre dépassement de 2 minutes sur son temps de conduite et ceci sur les 28 derniers jours de prestation. 300 € c’est ce qu’il a dû payer en perception immédiate.

Cette affaire nous fait franchement penser à du racket organisé légalement par l’État suisse. N’ayons pas peur de dire que ce genre d’affaire n’est pas faite pour arranger notre mécontentement vis-à-vis des règles européennes en matière de transport et de sécurité routière ! Visiblement, la Suisse, qui n’est pas dans l’Union Européenne, respecterait la législation européenne alors qu’elle est franchement, n’ayons pas peur de le dire, complètement en marge des réalités vécues par les routiers.