Depuis le 1er avril 2016, la Belgique a instaurée une taxe par kilomètre parcouru sur certains axes routiers et ceci pour les véhicules de 3,5 tonnes et plus. Chaque véhicule est « normalement » équipé d’un appareil qui permet le prélèvement automatique de cette taxe kilométrique. L’OBU pour « On Board Unit », autrement dit « une unité embarquée », est donc devenu obligatoire dans ce type de véhicules à l’exception des véhicules dont vous trouverez la liste sur le site de la SOFICO (cliquez ICI pour en savoir d’avantages sur le type de véhicules exonérés).
Lire la suite : OBU et procès-verbal attribué au chauffeur ! Que dit la législation ?
Ils sont heureux ces jeunes parents. Ils viennent d’accueillir leur petite fille qu’ils attendaient depuis neuf mois. Nous profitons de cet article pour les féliciter chaleureusement.
Notre syndicat progressiste, le SECOP-ITSRE, vient donc d’octroyer la première prime de naissance de sa courte existence puisque notre syndicat existe que depuis 2013.
La prime de naissance accordée à nos affiliés est de 120 € par naissance.
Nous pensons toujours que les accidents ce sont les autres qui les provoquent. Mais au final, ne sommes-nous pas l’autre d’un autre ?
En cette période de l’année qui est plus sombre et plus humide, il nous semblait important que rappeler ces petites règles de sécurité.
La distance de freinage va dépendre de plusieurs paramètres tels que :
La personne qui a écrit cet article est un chauffeur routier de l’autre génération, pas très loin de la retraite… A l’époque durant laquelle j’ai commencé à rouler avec un camion, j’avais 27 ans. (J’ai eu une autre vie professionnelle avant de devenir chauffeur routier). Lorsque j’ai commencé à travailler dans le secteur du transport routier, on m’appelait « DJ lainlain ». C’était encore à l’époque des tachygraphes à disques. Il n’était pas rare de changer de disque en pleine journée et lorsque nous allions vers la Hongrie, la Pologne, l’Italie… à plusieurs camions, il arrivait très souvent que l’on roule avec le disque au nom d’un autre chauffeur du convoi et parfois même avec un nom bidon.
Lire la suite : Pourquoi le SECOP-ITSRE asbl est favorable aux contrôles routiers ?
Il arrive parfois qu’un travailleur soit dans l’obligation, pour une raison médicale, de prendre un certificat et donc, d’arrêter de travailler momentanément ou définitivement. Lorsque la situation est compliquée entre un employeur qui ne veut pas faire le nécessaire afin que son secrétariat social établisse le document reprenant des informations qui serviront à la mutuelle et ceci dans le but d’octroyer le revenu de remplacement au travailleur, le travailleur peut rester plusieurs semaines ou plusieurs mois sans aucun revenu de remplacement. Ceci place les travailleurs dans une situation précaire dans bien des cas !
Certains employeurs peu scrupuleux n’hésitent pas un seul instant à brandir cette menace histoire de mettre la pression sur le travailleur.
Nous le constatons chaque jour, des rues pourtant interdites aux camions, font parties de l’itinéraire annoncé par les GPS dédiés aux camions et pour cause.
Lorsqu’une autorité communale prend la décision d’interdire une voirie à la circulation des poids-lourds, en principe le personnel de la Commune devrait informer le SPW Mobilité de cette modification. Dans certains cas, cette information n’est pas communiquée et c’est ainsi que les cartes GPS ne sont pas mises à jour.
Pourquoi alors un chauffeur routier devrait-il payer son GPS camion plus cher pour finalement n’avoir que le service d’un GPS voiture ?
Avez-vous déjà balayé le plancher d’une semi-remorque ou d’un container maritime ? Avez-vous déjà été dans un nuage de poussières soulevée lors du balayage ? Les chauffeurs routiers se retrouvent assez régulièrement confrontés à l’obligation de balayer le plancher de leur camion ou encore d’un container maritime. Ceci fait partie de son travail car avoir un plancher propre permet aussi à la marchandise transportée de glisser moins facilement sur un sol dépourvu de poussières et autres graviers.
Que ce soit pour l’image de marque de la société ou encore dans le but de respecter le Code des bonnes pratiques en matière d’arrimage, un chauffeur se retrouve très régulièrement le balai à la main en plein milieu d’un nouage de poussières et de fines particules. Mais cette partie du travail peut être risquée pour le travailleur !