Il nous arrive de circuler un peu partout en Europe lors de nos activités professionnelles et parfois même au-delà de l’Europe. Il nous arrive aussi de faire des constats négatifs mais également positifs sur des aspects qui touchent à la Sécurité Routière. Nous n’avons pas trouvé l’initiative du rond-point de Braine-le-Château intrigante ni surprenante mais géniale tout simplement. C’est pourquoi nous apportons un coup de projecteur sur cette nouveauté qui, nous l’espérons, se répandra dans nos Villes et Communes car celle-ci est un plus, selon nous, pour la Sécurité Routière et plus particulièrement pour les cyclistes qui ne sont pas toujours visibles, surtout lorsqu’ils se retrouvent dans des angles morts de nos véhicules.
Il nous arrive régulièrement de devoir attendre de longues minutes et parfois même de longues heures dans des files interminables qui sont à l’arrêt et ceci suite à un accident de la circulation. Pour un chauffeur routier, cette situation est très régulièrement synonyme de l’impossibilité de charger ou de décharger son camion et donc, d’être en retard Outre le fait que ce genre de situation est désagréable, elle provoque également une perte de rentabilité pour beaucoup d’entreprises, mais également des rendez-vous ratés etc.
Nous constatons de plus en plus que certains usagers du réseau routier ne respectent pas les règles fondamentales pour préserver un bon niveau de sécurité sur nos routes.
Lorsque l’on doit circuler avec un camion dans la majorité des ronds-points en Belgique, plusieurs constats s’imposent, le tout premier constat c’est celui de l’impossibilité pour un ensemble de type camion/remorque ou tracteur/semi-remorque de rester sur sa bande de roulage car les ronds-points en Belgique sont relativement petits. La remorque va toujours se déporter sur la bande de gauche et ainsi réduire la largeur de celle-ci. Malgré tout, n’importe quel automobiliste dépassera et ceci quitte à frôler le camion. Nous tenons à préciser que le chauffeur regardera dans son rétroviseur du côté droit pour vérifier que sa remorque n’escalade pas la bordure ou d’autres infrastructures qui pourraient dégrader les pneus de celle-ci. Et un camion, ce n’est pas une voiture ! La largeur de la cabine d’un camion obligera le conducteur à tourner la tête pour diriger son regard vers le rétroviseur.
Il arrive qu’un travailleur doit signer un contrat de travail dans une autre langue que sa langue maternelle. Dans cet article, nous insisterons sur ce que dit la loi et ce qu’un travailleur doit faire pour ne pas se faire piéger par son contrat de travail.
Un contrat de travail marie en quelque sorte un travailleur à son employeur et réciproquement, un employeur à son travailleur. Les contrats de travail sont régis principalement par la loi du 3 juillet 1978 et est donc toujours d’actualité à l’heure d’écrire ces quelques lignes. Il s’agit d’une loi de base pour tous les contrats de travail.
Nous faisons le constat que des GPS, spécialement commercialisés pour des conducteurs de véhicules lourds, ne servent plus à grand-chose de nos jours. En cause ? Des centaines de routes devenues interdites aux camions et qui ne sont pas renseignées auprès des différents constructeurs de GPS. Le résultat ? Des centaines de chauffeurs qui se font piéger et qui se retrouvent dans des situations parfois catastrophiques avec leur camion.
En Belgique, des communes interdisent l’accès sur certaines voiries aux camions pour différentes raisons qui, généralement sont bien légitimes. Parfois, il arrive aussi que ces interdictions soient des interdictions dites « de complaisances » !
Notre organisation syndicale milite en faveur d’une sécurité routière qui soit plus en accord avec la réalité vécue par les citoyens lorsqu’ils empruntent le réseau routier. Fort de notre expérience de la route, le SECOP-ITSRE asbl apporte ses solutions afin que les décideurs puissent prendre les bonnes décisions.
Prenons par exemple un cas parmi tant d’autres, les entrées et sorties d’autoroutes. Elles sont excessivement dangereuses et encore plus lorsque l’on conduit un camion. De plus, la pollution non négligeable, qui est générée par les véhicules qui freinent et puis qui doivent accélérer, devrait également attirer l’attention de nos responsables politiques, à moins que la sécurité routière et que l’aspect environnemental ne fassent pas parties de leurs véritables préoccupations !