Certains employeurs peinent à trouver des masques de protections et des lunettes de protection pour leur personnel. Le SECOP-ITSRE veut octroyer le matériel de protection aux adhérents du syndicat. Outre les masques et les lunettes, le syndicat fait également l’acquisition de solution hydro alcoolique.
Seuls les adhérents en ordre de cotisations syndicales depuis au moins une année, pourront prétendre à l’octroi de ce matériel. Cette disposition est prise pour éviter que certains chauffeurs n’adhérent au syndicat uniquement pour bénéficier du matériel. Le syndicat ne fera aucune inscription rétroactive et ceci pour ne pas pénaliser les membres qui cotisent depuis bien des mois.
Faire partie du SECOP-ITSRE, c’est aussi obtenir des avantages que d’autres syndicats de donnent pas. La défense juridique dans trois juridictions qui sont : le Tribunal du Travail, de Police et Correctionnel. Outre ceci, le syndicat offre une allocation sociale dans certains cas de figure.
Le SECOP-ITSRE asbl n’est pas une caisse de paiement des allocations de chômage. Nous conseillons à nos adhérents de se tourner vers la CAPAC qui a toutes les compétences pour effectuer le versement des allocations de chômage et qui est gratuite puisqu’il s’agit d’un service de l’État. Vous trouverez les coordonnées de cet organe dans cet article.
Suite à la problématique du coronavirus COVID-19, plus d’un millions de travailleurs belges sont ou seront mis en chômage temporaire ou en chômage pour des raisons économiques. Le SECOP-ITSRE asbl fait le point sur les démarches à effectuer pour bénéficier de ce droit aux allocations.
Quoi qu’il en soit, n’attendez-pas de ne plus avoir d’argent pour survivre pour réagir ! Vous devez aussi faire une tâche administrative…
Avant toute chose, votre employeur doit obligatoirement faire les démarches auprès de l’ONEM dans le cas où celui-ci n’est plus en mesure d’occuper son personnel. Il peut aussi demander à son secrétariat social pour effectuer ces démarches.
Généralement, l’employeur paye le procès-verbal attribué à son chauffeur et récupère ce montant en le prélevant du salaire. Que dit la loi ?
Afin de vous informer au mieux, notre syndicat a posé la question à une cellule spéciale transport de l’inspection sociale.
La réglementation s’applique sur base de la législation belge.
Les amendes infligées au travailleur en raison d’infractions qu’il a commises au Code de la route sont des amendes pénales. Le travailleur ne peut donc pas se prévaloir du bénéfice de l’Article 18 de la loi du 3 juillet 1978, qui s’applique uniquement pour dégager partiellement le travailleur de sa responsabilité sur le plan civil. Le travailleur devra prendre personnellement en charge le paiement de l’amende pénale puisqu’il est l’auteur de l’infraction.
100 candidatures ont été adressées à des employeurs potentiels du secteur du transport routier et le candidat n’a reçu aucune réponse positive. Pourtant, le candidat a montré beaucoup de bonne volonté puisqu’il indiquait qu’il était motivé, disponible, flexible,… enfin tout ce qu’un employeur peut rêver d’un chauffeur !
Au vu du curriculum vitae adressé aux employeurs potentiels, l’expérience du candidat était pourtant intéressante mais malgré tout, ce candidat n’a reçu qu’une seule réponse téléphonique lui disant que le travail proposé était dur et que leur personnel ne restait que quelques années avant de quitter leur emploi pour faire autre chose.
Quoi qu’il en soit, le mythe de la pénurie de chauffeurs routiers n’existerait pas sans ces offres d’emploi qui ne mènent nulle part…
Le SECOP-ITSRE asbl travaille depuis de nombreuses années maintenant avec une homologue française sur la problématique des éclatements de pneumatiques poids lourds qui provoquent des accidents. De ces échanges est née la page facebook sur laquelle sont répertoriés ces accidents. Cliquez ICI pour retrouver cette page.
Cette française effectue ces recherches parce que son époux, chauffeur routier a péri après avoir été percuté par un autre camion qui avait franchi la berme centrale suite à l'éclatement de son pneu avant gauche. Le bilan était lourd puisque 3 camions étaient impliqués; deux des chauffeurs sont morts sur le coup, le 3eme blessé.
Suite à des incohérences d'enquête, la lecture de divers et multiples documents lui laissait à penser qu'un problème de fabrication pouvait être la cause de cet accident. Aussi depuis près de 5 ans, elle tente de mettre en avant une possible série accidentelle européenne de poids lourds parce qu'elle pu, avec notre aide, découvrir au Pays bas puis en république Tchèque qu'un rappel produit massif émanait du manufacturier concerné dans l'accident de son mari, de part une référence très proche. D'autres éléments étayaient sa conviction.
Chaque année, nous recevons les mêmes questions sur ce qu'un chauffeur peut ou ne pas faire lorsqu'il a l'envie de participer avec son camion à un Trucks Show. Afin de vous éviter des problèmes ou des procès-verbaux toujours désagréables à payer, le SECOP-ITSRE asbl vous informe de ce qui est permis de faire.
Que dit la loi ?