Nous savons que les accidents n’arrivent qu’aux autres ! Mais au fait, ne sommes-nous pas l’autre d’un autre ? A méditer…
Si nous prenons la définition du mot « accident » dans le dictionnaire Larousse, voici ce que cela signifie « Événement fortuit qui a des effets plus ou moins dommageables pour les personnes ou pour les choses : Accident de la route. »
Ceci signifie qu’un accident peut survenir n’importe où, n’importe quand, avec n’importe qui et ceci peut évidemment arriver à n’importe quel chauffeur. Bien entendu, nous vous souhaitons une longue carrière sans accident…
En cas d’accident, les assureurs cherchent toujours quel est le responsable de l’accident et ceci afin de savoir quelle assurance devra indemniser l’autre partie. Bien souvent, il est difficile de prouver les choses et il arrive que le véritable responsable d’un accident s’en sorte plus ou moins bien après un accident.
Notre organisation milite depuis de nombreuses années pour chaque usager prenne ses responsabilités en cas de problème lors de sa mobilité. Que cette mobilité se fasse à titre privé ou professionnel, chacun devrait être responsable des préjudices qu’il pourrait occasionner à d’autres personnes.
A l’heure où la technologie est de plus en plus présente dans nos véhicules et que la sécurité passive et active est de mise, il nous parait « normal » qu’un élément supplémentaire pourrait être imposé dans nos véhicules (moto, voiture, camion, tracteur, etc.). Ceci renforcerait le respect des règles du Code de la Route car en cas d’accident, il serait facile de vérifier les responsabilités.
Il nous arrive de circuler un peu partout en Europe lors de nos activités professionnelles et parfois même au-delà de l’Europe. Il nous arrive aussi de faire des constats négatifs mais également positifs sur des aspects qui touchent à la Sécurité Routière. Nous n’avons pas trouvé l’initiative du rond-point de Braine-le-Château intrigante ni surprenante mais géniale tout simplement. C’est pourquoi nous apportons un coup de projecteur sur cette nouveauté qui, nous l’espérons, se répandra dans nos Villes et Communes car celle-ci est un plus, selon nous, pour la Sécurité Routière et plus particulièrement pour les cyclistes qui ne sont pas toujours visibles, surtout lorsqu’ils se retrouvent dans des angles morts de nos véhicules.
Il nous arrive régulièrement de devoir attendre de longues minutes et parfois même de longues heures dans des files interminables qui sont à l’arrêt et ceci suite à un accident de la circulation. Pour un chauffeur routier, cette situation est très régulièrement synonyme de l’impossibilité de charger ou de décharger son camion et donc, d’être en retard Outre le fait que ce genre de situation est désagréable, elle provoque également une perte de rentabilité pour beaucoup d’entreprises, mais également des rendez-vous ratés etc.
Nous constatons de plus en plus que certains usagers du réseau routier ne respectent pas les règles fondamentales pour préserver un bon niveau de sécurité sur nos routes.
Lorsque l’on doit circuler avec un camion dans la majorité des ronds-points en Belgique, plusieurs constats s’imposent, le tout premier constat c’est celui de l’impossibilité pour un ensemble de type camion/remorque ou tracteur/semi-remorque de rester sur sa bande de roulage car les ronds-points en Belgique sont relativement petits. La remorque va toujours se déporter sur la bande de gauche et ainsi réduire la largeur de celle-ci. Malgré tout, n’importe quel automobiliste dépassera et ceci quitte à frôler le camion. Nous tenons à préciser que le chauffeur regardera dans son rétroviseur du côté droit pour vérifier que sa remorque n’escalade pas la bordure ou d’autres infrastructures qui pourraient dégrader les pneus de celle-ci. Et un camion, ce n’est pas une voiture ! La largeur de la cabine d’un camion obligera le conducteur à tourner la tête pour diriger son regard vers le rétroviseur.
Il arrive qu’un travailleur doit signer un contrat de travail dans une autre langue que sa langue maternelle. Dans cet article, nous insisterons sur ce que dit la loi et ce qu’un travailleur doit faire pour ne pas se faire piéger par son contrat de travail.
Un contrat de travail marie en quelque sorte un travailleur à son employeur et réciproquement, un employeur à son travailleur. Les contrats de travail sont régis principalement par la loi du 3 juillet 1978 et est donc toujours d’actualité à l’heure d’écrire ces quelques lignes. Il s’agit d’une loi de base pour tous les contrats de travail.